Toute demande d'apaisement est légitime, même si l'on pense parfois qu'il y a plus malheureux que soi.

 

J'accueille toute personne, enfant, adolescent, adulte, dès lors qu'elle s'estime en souffrance psychique, et exprime le désir d'améliorer sa situation. 

 

En effet il n'est pas nécessaire d'avoir développé des symptômes spécifiques pour consulter un psychanalyste. Quelque soit la forme du malaise ou de la difficulté rencontrée, c'est à partir de ce que vous en direz (et ne direz pas) que nous travaillerons.

 

Chaque époque, chaque culture privilégie ses symptômes: si l'angoisse et la tristesse demeurent intemporels, la dépression, l'hyperactivité, l'anorexie ont émergé massivement au 20e siècle. La découverte de nouvelles molécules pharmaceutiques influe également sur la définition des maladies de l'âme.

 

La pression normative de nos sociétés pousse également à stigmatiser tel ou tel comportement dès lors qu'il dérange. Les psychanalyses le savent et en tiennent compte: le cortège de nos symptômes ne disent rien a priori de ce dont nous souffrons: l'histoire diffère pour chacun d'entre nous, et seule la parole permet d'accéder à leur sens. Ce n'est qu'ensuite que le chaque sujet pourra décider de ce qu'il en fera: le conserver, le modifier, ou y renoncer.

 

Le ou les premiers entretiens nous aideront à cerner votre demande, et généralement d'obtenir un  soulagement. Leur durée est variable, car il est souvent important de les interrompre à des moments précis de l'échange, suivant ce qui s'y dit. Prévoyez tout de même une heure de votre temps si vous n'aimez pas courir d'un rendez-vous à l'autre.

 

Ensuite seulement nous déciderons ensemble s'il y a lieu de démarrer une psychothérapie ou une psychanalyse, et nous en définirons le cadre ensemble (fréquence et coût des séances).

 

Côté tarif, les actes des psychologues cliniciens exerçant en cabinet ne sont pas remboursés par la Sécurité Sociale. Certaines mutuelles prennent en charge tout ou une partie des séances.